1Pour ce qui concerne les choses dont vous m'avez écrit, je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point toucher de femme. 2Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. 3Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari.