Voici, des fils sont un héritage de l'Eternel, Le fruit des entrailles est une récompense.
Il n'y aura dans ton pays ni femme qui avorte, ni femme stérile. Je remplirai le nombre de tes jours.
C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d'Emmanuel.
Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.
Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.
Cantique des degrés. Heureux tout homme qui craint l'Eternel, Qui marche dans ses voies! Tu jouis alors du travail de tes mains, Tu es heureux, tu prospères. Ta femme est comme une vigne féconde Dans l'intérieur de ta maison; Tes fils sont comme des plants d'olivier, Autour de ta table. C'est ainsi qu'est béni L'homme qui craint l'Eternel.
Ouvrirais-je le sein maternel, Pour ne pas laisser enfanter? dit l'Eternel; Moi, qui fais naître, Empêcherais-je d'enfanter? dit ton Dieu.
Nul n'a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l'a fait, et pourquoi? Parce qu'il cherchait la postérité que Dieu lui avait promise. Prenez donc garde en votre esprit, Et qu'aucun ne soit infidèle à la femme de sa jeunesse!
Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.
En ce temps-là, Juda s'éloigna de ses frères, et se retira vers un homme d'Adullam, nommé Hira. Là, Juda vit la fille d'un Cananéen, nommé Schua; il la prit pour femme, et alla vers elle. Elle devint enceinte, et enfanta un fils, qu'elle appela Er. Elle devint encore enceinte, et enfanta un fils, qu'elle appela Onan. Elle enfanta de nouveau un fils, qu'elle appela Schéla; Juda était à Czib quand elle l'enfanta. Juda prit pour Er, son premier-né, une femme nommée Tamar. Er, premier-né de Juda, était méchant aux yeux de l'Eternel; et l'Eternel le fit mourir. Alors Juda dit à Onan: Va vers la femme de ton frère, prends-la, comme beau-frère, et suscite une postérité à ton frère. Onan, sachant que cette postérité ne serait pas à lui, se souillait à terre lorsqu'il allait vers la femme de son frère, afin de ne pas donner de postérité à son frère. Ce qu'il faisait déplut à l'Eternel, qui le fit aussi mourir....
C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés.
Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé.