Mieux vaut habiter à l'angle d'un toit, Que de partager la demeure d'une femme querelleuse.
Une gouttière continue dans un jour de pluie Et une femme querelleuse sont choses semblables.
Mieux vaut habiter dans une terre déserte, Qu'avec une femme querelleuse et irritable.
Mieux vaut habiter à l'angle d'un toit, Que de partager la demeure d'une femme querelleuse.
Un fils insensé est une calamité pour son père, Et les querelles d'une femme sont une gouttière sans fin.
Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste et réservée.
vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ. Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l'Eglise, parce que nous sommes membres de son corps....
Une femme vertueuse est la couronne de son mari, Mais celle qui fait honte est comme la carie dans ses os.
Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l'appelait son seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.
Une gouttière continue dans un jour de pluie Et une femme querelleuse sont choses semblables. Celui qui la retient retient le vent, Et sa main saisit de l'huile.
Un anneau d'or au nez d'un pourceau, C'est une femme belle et dépourvue de sens.
Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles. Le coeur de son mari a confiance en elle, Et les produits ne lui feront pas défaut. Elle lui fait du bien, et non du mal, Tous les jours de sa vie. Elle se procure de la laine et du lin, Et travaille d'une main joyeuse. Elle est comme un navire marchand, Elle amène son pain de loin. Elle se lève lorsqu'il est encore nuit, Et elle donne la nourriture à sa maison Et la tâche à ses servantes. Elle pense à un champ, et elle l'acquiert; Du fruit de son travail elle plante une vigne. Elle ceint de force ses reins, Et elle affermit ses bras. Elle sent que ce qu'elle gagne est bon; Sa lampe ne s'éteint point pendant la nuit. Elle met la main à la quenouille, Et ses doigts tiennent le fuseau....
Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses.
non comme dominant sur ceux qui vous sont échus en partage, mais en étant les modèles du troupeau.
Celui qui trouve une femme trouve le bonheur; C'est une grâce qu'il obtient de l'Eternel.
A ceux qui sont mariés, j'ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari si elle est séparée, qu'elle demeure sans se marier ou qu'elle se réconcilie avec son mari, et que le mari ne répudie point sa femme.