Il aura encore compassion de nous, Il mettra sous ses pieds nos iniquités; Tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés.
Si je prends les ailes de l'aurore, Et que j'aille habiter à l'extrémité de la mer, Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.
Ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires, Et qui travaillaient sur les grandes eaux, Ceux-là virent les oeuvres de l'Eternel Et ses merveilles au milieu de l'abîme. Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer.
Il a bâti sa demeure dans les cieux, Et fondé sa voûte sur la terre; Il appelle les eaux de la mer, Et les répand à la surface de la terre: L'Eternel est son nom.
Dieu dit: Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi.
Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.
Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas.
Car la terre sera remplie de la connaissance de la gloire de l'Eternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent.
La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Quand les nuages sont pleins de pluie, ils la répandent sur la terre; et si un arbre tombe, au midi ou au nord, il reste à la place où il est tombé.
Il a tracé un cercle à la surface des eaux, Comme limite entre la lumière et les ténèbres.
Mon âme, bénis l'Eternel! Eternel, mon Dieu, tu es infiniment grand! Tu es revêtu d'éclat et de magnificence! Il s'enveloppe de lumière comme d'un manteau; Il étend les cieux comme un pavillon. Il forme avec les eaux le faîte de sa demeure; Il prend les nuées pour son char, Il s'avance sur les ailes du vent. Il fait des vents ses messagers, Des flammes de feu ses serviteurs. Il a établi la terre sur ses fondements, Elle ne sera jamais ébranlée. Tu l'avais couverte de l'abîme comme d'un vêtement, Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes; Elles ont fui devant ta menace, Elles se sont précipitées à la voix de ton tonnerre. Des montagnes se sont élevées, des vallées se sont abaissées, Au lieu que tu leur avais fixé. Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu'elles ne reviennent plus couvrir la terre. Il conduit les sources dans des torrents Qui coulent entre les montagnes....
Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.
Iles, faites silence pour m'écouter! Que les peuples raniment leur force, Qu'ils avancent, et qu'ils parlent! Approchons pour plaider ensemble.
En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, Et couleront moitié vers la mer orientale, Moitié vers la mer occidentale; Il en sera ainsi été et hiver.
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le premier jour. Dieu dit: Qu'il y ait une étendue entre les eaux, et qu'elle sépare les eaux d'avec les eaux. Et Dieu fit l'étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l'étendue d'avec les eaux qui sont au-dessus de l'étendue. Et cela fut ainsi. Dieu appela l'étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le second jour. Dieu dit: Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon....