C'est toi qui as formé mes reins, Qui m'as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien. Mon corps n'était point caché devant toi, Lorsque j'ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre. Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m'étaient destinés, Avant qu'aucun d'eux existât.
Mais, lorsqu'il plut à celui qui m'avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m'a appelé par sa grâce,
Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d'années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s'est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n'a point de sépulture, je dis qu'un avorton est plus heureux que lui. Car il est venu en vain, il s'en va dans les ténèbres, et son nom reste couvert de ténèbres; il n'a point vu, il n'a point connu le soleil; il a plus de repos que cet homme.
Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux: un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté;
Iles, écoutez-moi! Peuples lointains, soyez attentifs! L'Eternel m'a appelé dès ma naissance, Il m'a nommé dès ma sortie des entrailles maternelles.
Il répondit: Lorsque l'enfant vivait encore, je jeûnais et je pleurais, car je disais: Qui sait si l'Eternel n'aura pas pitié de moi et si l'enfant ne vivra pas? Maintenant qu'il est mort, pourquoi jeûnerais-je? Puis-je le faire revenir? J'irai vers lui, mais il ne reviendra pas vers moi.
De même, ce n'est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux qu'il se perde un seul de ces petits.
On lui amena des petits enfants, afin qu'il les touchât. Mais les disciples reprirent ceux qui les amenaient. Jésus, voyant cela, fut indigné, et leur dit: Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera point. Puis il les prit dans ses bras, et les bénit, en leur imposant les mains.
Il tient dans sa main l'âme de tout ce qui vit, Le souffle de toute chair d'homme.
Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
C'était pour cet enfant que je priais, et l'Eternel a exaucé la prière que je lui adressais. Aussi je veux le prêter à l'Eternel: il sera toute sa vie prêté à l'Eternel. Et ils se prosternèrent là devant l'Eternel.