L'âme du paresseux a des désirs qu'il ne peut satisfaire; Mais l'âme des hommes diligents sera rassasiée.
Tout ce que vous faites, faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes,
Car, lorsque nous étions chez vous, nous vous disions expressément: Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus.
Celui qui agit d'une main lâche s'appauvrit, Mais la main des diligents enrichit.
Celui qui se relâche dans son travail Est frère de celui qui détruit.
Si quelqu'un n'a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu'un infidèle.
Les désirs du paresseux le tuent, Parce que ses mains refusent de travailler;
J'ai passé près du champ d'un paresseux, Et près de la vigne d'un homme dépourvu de sens. Et voici, les épines y croissaient partout, Les ronces en couvraient la face, Et le mur de pierres était écroulé. J'ai regardé attentivement, Et j'ai tiré instruction de ce que j'ai vu. Un peu de sommeil, un peu d'assoupissement, Un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, Et la disette, comme un homme en armes.
A cause du froid, le paresseux ne laboure pas; A la moisson, il voudrait récolter, mais il n'y a rien.
N'aime pas le sommeil, de peur que tu ne deviennes pauvre; Ouvre les yeux, tu seras rassasié de pain.
La paresse fait tomber dans l'assoupissement, Et l'âme nonchalante éprouve la faim.
Mais Jésus leur répondit: Mon Père agit jusqu'à présent; moi aussi, j'agis.
Va vers la fourmi, paresseux; Considère ses voies, et deviens sage.
La main des diligents dominera, Mais la main lâche sera tributaire.
Le paresseux dit: Il y a un lion sur le chemin, Il y a un lion dans les rues! La porte tourne sur ses gonds, Et le paresseux sur son lit. Le paresseux plonge sa main dans le plat, Et il trouve pénible de la ramener à sa bouche. Le paresseux se croit plus sage Que sept hommes qui répondent avec bon sens.
Nous apprenons, cependant, qu'il y en a parmi vous quelques-uns qui vivent dans le désordre, qui ne travaillent pas, mais qui s'occupent de futilités. Nous invitons ces gens-là, et nous les exhortons par le Seigneur Jésus-Christ, à manger leur propre pain, en travaillant paisiblement.
Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements.
Tout travail procure l'abondance, Mais les paroles en l'air ne mènent qu'à la disette.
Et n'oubliez pas la bienfaisance et la libéralité, car c'est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir.
Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.
Efforce-toi de te présenter devant Dieu comme un homme éprouvé, un ouvrier qui n'a point à rougir, qui dispense droitement la parole de la vérité.