Garde-moi comme la prunelle de l'oeil; Protège-moi, à l'ombre de tes ailes,
Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant. Je dis à l'Eternel: Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie! Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages. Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour, Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint; De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants. Car tu es mon refuge, ô Eternel! Tu fais du Très-Haut ta retraite. Aucun malheur ne t'arrivera, Aucun fléau n'approchera de ta tente....