Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.
Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.
Il dit encore: Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme. Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme.
Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments.
Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point.
Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché; et le péché, étant consommé, produit la mort.
Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne oeuvre,
Que l'impudicité, qu'aucune espèce d'impureté, et que la cupidité, ne soient pas même nommées parmi vous, ainsi qu'il convient à des saints.
Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.
Je n'ai désiré ni l'argent, ni l'or, ni les vêtements de personne. Vous savez vous-mêmes que ces mains ont pourvu à mes besoins et à ceux des personnes qui étaient avec moi. Je vous ai montré de toutes manières que c'est en travaillant ainsi qu'il faut soutenir les faibles, et se rappeler les paroles du Seigneur, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.
Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.
Que celui qui dérobait ne dérobe plus; mais plutôt qu'il travaille, en faisant de ses mains ce qui est bien, pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin.
J'ai vu dans le butin un beau manteau de Schinear, deux cents sicles d'argent, et un lingot d'or du poids de cinquante sicles; je les ai convoités, et je les ai pris; ils sont cachés dans la terre au milieu de ma tente, et l'argent est dessous.
L'année suivante, au temps où les rois se mettaient en campagne, David envoya Joab, avec ses serviteurs et tout Israël, pour détruire les fils d'Ammon et pour assiéger Rabba. Mais David resta à Jérusalem. Un soir, David se leva de sa couche; et, comme il se promenait sur le toit de la maison royale, il aperçut de là une femme qui se baignait, et qui était très belle de figure. David fit demander qui était cette femme, et on lui dit: N'est-ce pas Bath-Schéba, fille d'Eliam, femme d'Urie, le Héthien? Et David envoya des gens pour la chercher. Elle vint vers lui, et il coucha avec elle. Après s'être purifiée de sa souillure, elle retourna dans sa maison. Cette femme devint enceinte, et elle fit dire à David: Je suis enceinte. Alors David expédia cet ordre à Joab: Envoie-moi Urie, le Héthien. Et Joab envoya Urie à David. Urie se rendit auprès de David, qui l'interrogea sur l'état de Joab, sur l'état du peuple, et sur l'état de la guerre. Puis David dit à Urie: Descends dans ta maison, et lave tes pieds. Urie sortit de la maison royale, et il fut suivi d'un présent du roi. Mais Urie se coucha à la porte de la maison royale, avec tous les serviteurs de son maître, et il ne descendit point dans sa maison. On en informa David, et on lui dit: Urie n'est pas descendu dans sa maison. Et David dit à Urie: N'arrives-tu pas de voyage? Pourquoi n'es-tu pas descendu dans ta maison?...
Malheur à ceux qui méditent l'iniquité et qui forgent le mal Sur leur couche! Au point du jour ils l'exécutent, Quand ils ont le pouvoir en main. Ils convoitent des champs, et ils s'en emparent, Des maisons, et ils les enlèvent; Ils portent leur violence sur l'homme et sur sa maison, Sur l'homme et sur son héritage. C'est pourquoi ainsi parle l'Eternel: Voici, je médite contre cette race un malheur; Vous n'en préserverez pas vos cous, Et vous ne marcherez pas la tête levée, Car ces temps seront mauvais. En ce jour-là, on fera de vous un sujet de sarcasme, On poussera des cris lamentables, On dira: Nous sommes entièrement dévastés! Il donne à d'autres la part de mon peuple! Eh quoi! il me l'enlève! Il distribue nos champs à l'ennemi!... C'est pourquoi tu n'auras personne Qui étende le cordeau sur un lot, Dans l'assemblée de l'Eternel. - Ne prophétisez pas! disent-ils. Qu'on ne prophétise pas de telles choses! Les invectives n'ont point de fin! - Oses-tu parler ainsi, maison de Jacob? L'Eternel est-il prompt à s'irriter? Est-ce là sa manière d'agir? Mes paroles ne sont-elles pas favorables A celui qui marche avec droiture? Depuis longtemps on traite mon peuple en ennemi; Vous enlevez le manteau de dessus les vêtements De ceux qui passent avec sécurité En revenant de la guerre. Vous chassez de leurs maisons chéries les femmes de mon peuple, Vous ôtez pour toujours ma parure à leurs enfants. Levez-vous, marchez! car ce n'est point ici un lieu de repos; A cause de la souillure, il y aura des douleurs, des douleurs violentes....
Un homme envieux a hâte de s'enrichir, Et il ne sait pas que la disette viendra sur lui.